
Je partage pleinement la réflexion exprimée par ce témoin de l’horreur humaine M. Kapos.
À la fin de la Seconde Guerre mondiale, le président Truman avait prononcé ces mots lourds de sens : « Plus jamais cela. » Et pourtant, les décennies qui ont suivi n’ont cessé de trahir cette promesse.
Malgré les Conventions de Genève de 1949, enrichies par trois protocoles additionnels en 1977 et 2005, censées protéger les civils, les blessés, les prisonniers de guerre et le personnel médical, et en dépit des Conventions de La Haye, qui encadrent la conduite des hostilités, la réalité du terrain démontre l’impuissance – ou le mépris – face à ces principes.
Nous assistons aujourd’hui à un massacre d’une intensité insoutenable. Les images, relayées à travers le monde, frappent par leur violence et leur inhumanité. Elles choquent, indignent, et interrogent notre silence collectif.
Le Hamas porte une lourde responsabilité dans l’embrasement de la région, par ses actions violentes et sa stratégie du chaos. Mais la riposte d’Israël, dans sa forme et son intensité, soulève des questions éthiques et juridiques majeures. Elle donne l’impression, aux yeux de nombreux observateurs, de servir également des visées territoriales au-delà de la simple autodéfense.
Il est urgent que la communauté internationale se montre à la hauteur de ses engagements, que le droit international humanitaire cesse d’être une simple déclaration de principes et redevienne un outil de justice et de paix.
J’ai écrit un texte de base et l’ai faire ajuster par Chatgpt, car mes mots auraient été entâché de colère et de tristesse. Dans ma jeunesse j’ai fait partie d’une association « Graîne de Paix » (basée à Genève) qui récoltait des fonds pour les enfants. Ce qui se passe là-bas et dans d’autres parties du monde au niveau conflit est intolérable. N’avons-nous pas les moyens de trouver des compromis ?
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