Le droit à une réponse

Le droit à une réponse

Il est incontestable que l’État d’Israël a le droit de se défendre, notamment face à l’attaque du 7 octobre 2023, qui a visé des civils de manière délibérée. De tels actes relèvent clairement du terrorisme et appellent une réponse ferme et légitime.

Cependant, cette riposte, pour rester conforme au droit international humanitaire, aurait dû être strictement ciblée sur les responsables de l’attaque et limitée dans le temps et l’intensité. Israël a démontré dans le passé sa capacité à mener des frappes précises, visant à neutraliser des menaces tout en limitant les dommages collatéraux.

Aujourd’hui, nous assistons à un conflit prolongé, marqué par une stratégie de plus en plus assimilable à une politique de destruction massive, dont les civils sont les premières victimes. Il ne s’agit plus uniquement de défense ou de riposte, mais d’une dynamique qui alimente une spirale de violence sans fin.

Il n’y a pas de vérité absolue dans ce conflit : les responsabilités sont partagées, les souffrances immenses et les blessures profondes. Pourtant, le temps est venu de sortir de la logique binaire et de reconnaître que seule une solution politique, négociée, peut permettre une paix durable.

Des voix juives, en Israël et dans la diaspora, expriment leur désaccord face à la politique actuelle, appelant à la retenue, au dialogue et au respect des principes éthiques fondamentaux. Malheureusement, ces voix restent trop souvent marginalisées dans le débat public.

Près d’un an et demi après le début de ce nouvel épisode tragique, le bilan humain est insoutenable, tant du côté israélien que palestinien. Il est urgent que la communauté internationale assume ses responsabilités et intensifie les efforts diplomatiques pour amener les parties autour de la table.

Le statu quo n’est plus tenable. L’heure est à la désescalade, à la responsabilité collective et à la recherche sincère d’une paix juste et durable.

Ce texte a été créé avec ChatGpt sur la base de ma formation de néophyte 🙂

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